Dans cette vallée lumineuse,
Ou il n’y a point de paysages
Règne une forte chaleur semblable au désert
Preuve qu’aucune végétation ne peut y survivre
Identique au noir du néant
Cette lumière éblouissante, presque pure
Nous offre un petit coin de paradis en enfer
J’y erre aveuglément comme un vagabond.
Ses chemins de perditions et de débauches
N’est que le reflet de l’inconscient
Le réveil en est que plus douloureux.
Oh Nuit effroyable ! Ô nuit désastreuse !
Je ne vois qu’un reflet dans le miroir
Celui d’un homme qui se meurt de l’intérieur,
Douleur devenue visible à l’extérieur.
Laisser un commentaire